Quelle est la différence entre un coach, formateur, guide, conseil, mentor ?
Le coaché est une personne qui veut atteindre le sommet d’une montagne.
Toutefois, il se rend compte qu’il devra faire face à plusieurs difficultés- le vertige, la fatigue, et surtout cette falaise a pic de 300 mètres- et cette perspective entame sa détermination.
Pour atteindre son objectif, il peut s’adresser à un moniteur d’escalade (un formateur), un guide (un conseil), s’insérer dans une cordée dirigée par un montagnard aguerri (un manager-coach), en discuter avec un alpiniste célèbre (un mentor), solliciter l’aide d’un psychologue formé aux thérapies comportementales et cognitives pour surmonter sa phobie, consulter un psychiatre dans le but de se faire prescrire des médicaments contre l’anxiété (un thérapeute objectiviste) ou bien un psychanalyste afin de se demander pourquoi il veut grimper sur ce sommet malgré sa peur ( un thérapeute subjectiviste).
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Avec le professeur d’escalade, il aurait appris une technique pour résoudre chacun de ses problèmes : par exemple, passer cette falaise à pic de 300 mètres.
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Certains formateurs l’auraient initié aux pitons et aux cordes, tandis que d’autres lui auraient enseigné une approche plus libre, mais plus risquée.
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Le guide aurait quant à lui jugé de son niveau, puis aurait dit : « C’est par là. » Mais peut-être notre coaché aurait-il été déçu de passer par les alpages plutôt que d’affronter la fameuse falaise à pic…
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Le chef de la cordée ne se serait pas beaucoup intéressé au coaché, car il aurait eu hâte de parvenir au sommet : il se serait plaint de sa lenteur, mais aurait délivré parfois un avis utile.
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L’alpiniste célèbre, pour sa part, aurait décrit la montagne, sa grandeur, la joie de se dépasser en défiant la nature, et lui aurait enseigné l’humilité nécessaire pour se permettre ce défi.
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Le médecin aurait prescrit un produit contre le vertige et un anxiolytique.
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Et, au terme d’une longue psychanalyse, le coaché aurait finalement découvert que le massif rocheux est une métaphore de la puissance paternelle qu’il n’ose affronter.
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Finalement, notre alpiniste amateur demandera à un coach de l’accompagner, espérant de lui une aide qui lui permettra de trouver en lui-même les solutions qui s’imposent.
Pour reprendre l’analogie de Michel Moral, accompagner ce n’est ni porter, ni mener, ni conseiller, ni enseigner : c’est marcher à côté et co-réfléchir à chaque succès ou difficulté. (Le coaching et sa supervision p33-34)
Qui souhaite faire de la préparation mentale ?
Loin des idées reçues, beaucoup de sportifs et de cadres viennent à la préparation mentale pour optimiser leur performance individuelle ou collective, tout comme de nombreux préparateurs mentaux viennent enrichir leurs pratiques ?
Quels sont mes principaux domaines de compétences ?
-La formation
-Le coaching individuel et collectif
-La préparation mentale
-La supervision individuelle et collective
Pourquoi avoir choisi ce métier ?
Sur le plan professionnel, j’ai été confronté et également vu beaucoup de personnes en souffrance professionnellement et personnellement à l’heure où l’attention portée sur la qualité de vie au travail était délaissée.
Sur le plan sportif, j’ai compris bien assez tôt, en tant qu’athlète ou sélectionneur que le plus important n’était pas de réussir mais de durer dans la performance et que le plan mental et la gestion de l’environnement étaient des facteurs clefs négligés de la performance.
Comment choisir le bon coach ?
Le bon coach respecte le code de déontologie de sa profession, il a suivi une formation certifiante (rncp niveau 1 ou 2), il est supervisé et veille à son amélioration continue.
Le coach est un professionnel qui, par sa posture bienveillante et ses outils, répondra à l’opération :
Protection+permission= puissance
Et vous permettra de réaliser vos objectifs personnels, professionnels, sportifs.
La notion de bon est relative, soit vous vous donnez des excuses, soit des moyens d’atteindre vos objectifs ou faire de votre mieux.
Est-ce que j’ai été encouragé à devenir coach professionnel ?
Est-ce que tu es sûr de bien vouloir quitter ton boulot pour devenir coach professionnel?
Est-ce que tu vas gagner suffisamment d’argent pour payer tes charges, le loyer, la scolarité des enfants?
Tu sais que quand tu te lances en indépendant, c’est jamais facile?
Es-tu sûr d’avoir pratiqué suffisamment pendant ta formation?
Coach, c’est un métier de 2ème partie de carrière?
Coach, c’est le métier à la mode, tout le monde est coach maintenant?
Chers collègues, ça ne vous rappelle rien?
J’ai appris qu’il était temps de respecter son écologie en restant soi même car les autres sont déjà pris et que malgré les détours de la vie, on rencontre sa destinée souvent par les chemins que l’on tente d’emprunter pour l’éviter.
Une des phrases que je répète souvent est que je ne connais pas d’arbres qui donnent du fruit pour lui-même.
Ce métier est celui qui me correspond le mieux.
Il me permet face à la feuille blanche que vous me proposez de nous réinventer au mieux, en partant d’un état initial pour aller vers un état dirigé.
Ma satisfaction : Vous voir produire et cultivez vos fruits et permettre aux personnes qui sont à vos côtés d’en faire autant.
Quel est mon rôle ?
Mon rôle est d'aider le coaché, avec des processus d'accompagnement adaptés, à bâtir ses propres solutions ; permettre à tous de pouvoir s’exprimer et s’épanouir au sein de sa propre identité
https://www.emccfrance.org/domaines-dintervention/
Y a-t-il un bonus à travailler ensemble ?
Vivre une expérience singulière basée sur le respect de :
- votre unicité
- vos mouvements naturels